Tout, tout, vous saurez tout sur ANDERSON







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Nom : Adrien F. Anderson

Age : 32 ans

Langues étudiées : français, anglais, allemand

Niveau d'étude et concours : Lauréat du concours national de la Résistance (Niveau régional) / DEUG de Droit option Sciences Politiques / Licence de droit / Maîtrise de droit public / Master II Finances des collectivités territoriales / Session "jeunes" de l'Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale.

Loisirs : Ecriture / Jardinage / Tennis / Imitations / Humour / débats / Composition chanson & musique / Engagements humanitaires / Aventure / Randonnée / Ex Animateur et réalisateur d'émissions de radio (ayant interviewé plusieurs personnalités dont: Claude Lelouch, Jean-Marc Barr, Astrid Veillon, MC Solaar, Rost, Jean-Pierre Raffarin, Régine Déforges, Azouz Begag, Michèle Alliot-Marie, Arlette Laguiller, José Bové, Ségolène Royal, François Rebsamen, François Patriat, Louis Debroissia, ...), chroniqueur radio et intervieweur (ayant réalisé l’interview de Patrick Poivre d’Arvor, de Nicoletta, d’Astrid Veillon, Alexandra Bianchi, Robert Castel, Jean-Pierre Mocky, Alain Bazot (président national de l'UFC Que Choisir, Henry Revol (Président du Haut Comité pour la transparence et l'information sur la Sécurité Nucléaire, …)

Films/séries préférés : Humour / Horreur / Action / Thriller (dont "Tais-toi", Stargate SG1, X-Files, Docteur Who, Macgyver, les films de Defunes, Les anges gardiens, Les Maitres du monde,...)

Goûts culinaires : Gastronomie moderne et traditionnelle

Divers : Passionné par DALI,VAN GOGH et GAUDI

A l'heure où les institutions se plaignent du fait que les jeunes lisent trop peu, Adrien se veut défenseur d'une littérature simple sans prétention, s'adressant à  tous.





Les conceptions ANDERSON



ANDERSON pratique ce qu'il appelle la méthode Zola. Elle se résume à travers la pensée de l'écrivain Émile ZOLA :

« Le maître-mot est dès lors la « simplicité dans la langue » contre les excès de la rhétorique et le « déluge de lieux communs, d'images connues, qui fait dire au grand public : « C'est bien écrit ». » Pour « acquérir un style simple, clair et fort », Zola, dans une préface de 1889, conseille aux jeunes écrivains de se frotter à l'écriture journalistique : l'urgence, la nécessité de la concision, les amèneront à se débarrasser des adjectifs superflus, à ne plus conserver « que le verbe ». C'est en effet à ce prix que la langue peut devenir « l'arme scientifique du siècle ». (extrait de l'encyclopédie en ligne concernant l'auteur) »

Si ANDERSON reste très attaché au roman court, à la simplicité et à la fluidité d'une écriture, c'est avant tout pour contribuer à réparer ce qu'il nomme les premiers barreaux cassés de l'échelle menant aux ouvrages classiques bien plus complexes. « On ne parcourt pas 100 km lors de sa première randonnée, il faut avant tout s'entrainer sur des circuits plus courts. Et bien, en littérature, c'est un peu la même chose », expliquait-il lors d'une conférence sur le roman court à Vichy en 2010.
A la lumière du sondage TNS-SOFRES sur le nombre de lecteurs et au regard du constat général de faible attrait des jeunes pour la lecture (concurrence des jeux vidéos, de la télévision, …), Adrien ANDERSON a pris la décision d'entrer en guerre contre le fatalisme en proposant des romans courts au style bercé de fluidité. « Si les ouvrages anglo-saxons se vendent si bien, c'est avant tout par l'aspect universel de l'écriture qu'ils proposent », répliquait-il lors d'une interview sur RCF. « L'excès de description tue la relation qui doit normalement s'établir entre un auteur et son lecteur pour le propulser dans un autre monde ». ANDERSON entend par là qu'il n'est pas étonnant que l'on puisse être déçu d'une adaptation d'un livre au cinéma. La caméra vous impose les images, on peut difficilement passer outre. En revanche, un livre vous donne un certain pouvoir d'interprétation vous permettant de participer inconsciemment à l'histoire en vous imaginant certains aspects en fonction de votre vie, de vos idées préconçues. Par exemple, la laideur est un aspect subjectif qui ne sera pas perçu de la même manière d'un individu à l'autre. Si l'on précise qu'une personne est laide du fait de son gros nez, le lecteur aurait peut-être eu tendance à s'imaginer une personne couverte de boutons d'acné. « Si l'on veut reconquérir notre jeune public, il faut lui laisser la possibilité de choisir certains paramètres dans un livre et ne pas établir de véritable rapport de force sous peine de frustrer » (Adrien ANDERSON, mai 2011).



Quelques phrases de circonstance écrites par ANDERSON :



  • Ma plus grande richesse, c'est vous !
  • L'alcool doit rester un plaisir et non une dépendance.
  • Quand il n’y a plus d’espoir, il y a de l’espérance.
  • Toute rose est condamnée à une bien triste fatalité, celle de devoir un jour faner.
  • La vie n'est autre que le commencement de la mort.
  • Le plus grand fléau de ce nouveau siècle d’espérance, c’est sans aucun doute le conformisme.
  • L’Humanité se vide peu à peu de son humanité.
  • Celui qui n'aide pas son prochain se retrouvera un jour seul dans le ravin.
  • Ce n'est pas le lecteur qui dicte à  l'auteur ce qu'il doit écrire mais uniquement et humblement son inspiration.
  • La véritable mort n'est autre que l'oubli.
  • Bon nombre d'idiots sont cultivés, mais peu d'entre eux sont intelligents !
  • L'intelligence se résume avant tout à penser par soi-même.
  • Si l'on devait écrire selon le conformisme littéraire, l'innovation n'aurait plus de sens.
  • Il faut parfois dépasser ce qui existe : c'est tout bonnement l'invention !
  • La littérature évolue, alors évoluons !
  • S’il existe une chose en ce monde qui ne puisse être détruite, c’est bien l’espoir.



  • Le mot de l'auteur :



    Écrire n'est pas chose facile. Il s'agit là d'un véritable engagement. L'écrivain doit s'armer de patience ; un livre se construit en de nombreux mois, voire années. Il est imparfait, c'est ce qui le rend profondément humain. Je ne fais par partie des romanciers qui estiment qu'il est impératif de se forcer à rédiger des lignes régulièrement : écrire doit rester un véritable plaisir et non une corvée. Le plus dur est sans doute le moment où l'on inscrit le point final, mettant ainsi fin à cette merveilleuse aventure. Nos écrits demeurent malgré tout vivants. On ne se contente pas d'écrire, on vit et on partage une autre vie avec ses personnages. Nous avons la possibilité de transmettre des valeurs et bien d'autres messages. La littérature a traversé les temps et s'imprègne de l'engagement des créateurs au nom de diverses causes.


    Un grand merci aux lecteurs, à toutes les personnes qui m'ont soutenu dans ces projets et aussi à l'équipe d'accompagnement dans cette grande aventure : la réussite n'est jamais solitaire, elle n'est possible qu'à travers les autres.

    Citation de Stephen King issue de son livre "Écriture : mémoire d'un métier"

    "J'avais honte. J'ai passé pas mal d'années par la suite, trop, j'en ai l'impression, à  avoir honte de ce que j'écrivais. Je crois que j'ai dû attendre d'avoir quarante ans pour me rendre compte que la plupart des auteurs de fiction et poésie ayant publié ne serais-ce qu'une ligne ont été un jour ou l'autre accusés de gâcher le talent que Dieu leur avait donné. Si jamais vous écrivez, il y aura toujours quelqu'un pour essayer de vous faire croire que vous êtes un minable."

    Stephen King

    "A bien des égards la tâche du critique est aisée, nous ne risquons pas grand chose, et pourtant nous jouissons d'une position de supériorité par rapport à ceux qui se soumettent avec leur travail à notre jugement. Nous nous épanouissons dans la critique négative, plaisante à écrire et à lire. Mais l'amère vérité qu'il nous faut bien regarder en face, c'est que dans le grand ordre des choses, le mets le plus médiocre a sans doute plus de valeur que notre critique qui le dénonce comme tel. Il est pourtant des circonstances où le critique prend un vrai risque : c'est lorsqu'il découvre et défend l'innovation. Le monde est souvent malveillant à l'encontre des nouveaux talents et de la création. Le nouveau a besoin d'amis."

    Extrait du dessin animé Ratatouille (morale de l'histoire)





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